Engagement sociétal
WEB Energie du vent est une entreprise signataire de la Charte FEE et un professionnel du secteur et cela pour tous les aspects de la filière. La protection de l’environnement et plus spécifiquement des espèces avifaunes ainsi que chiroptères reste une préoccupation majeure allant au-delà des obligations règlementaires en vigueur. Pour chaque projet, WEB Energie du vent collabore avec des Bureau d’études indépendants spécialisés en Ecologie qui réalisent des études d’impact en profondeur et ciblées sur la zone définie.
Dans les bureaux et au sein des équipes, la volonté de réduire l’empreinte carbone et minimiser l’impact de notre activité est présent au quotidien. Avec une flotte de véhicule électrique ou hybride, des systèmes de recyclage des déchets et une optimisation des déplacements du personnel (utilisation de vélos, marche et transport publics) l’entreprise reste vigilante de maintenir une cohérence environnementale adéquate. La réduction de dépenses énergétique ainsi que l’optimisation des déplacements terrains sont aussi des composantes clefs de la stratégie de réduction d’impact environnementaux de WEB Energie du Vent.
Un développement soucieux des impératifs de préservation des espèces
Lors du développement de ses projets, WEB Energie du vent met un point d’honneur à préserver au maximum l’environnement dans lequel il s’insère, en évitant les zones à sensibilité écologique forte, en réduisant au maximum les effets néfastes de son implantation et en compensant tout impact qui ne peut pas être éviter. C’est la Séquence ERC (Eviter, Réduire, Compenser).
La stratégie ERC (Eviter Réduire Compenser) est au centre de l’analyse de ces impacts et, en conclusion de l’étude, sont proposées des mesures de compensations adaptées au contexte afin de minimiser l’empreinte écologique et environnementale des projets mis en place. Les équipes de développement WEB Energie du Vent participent régulièrement aux séminaires sur la biodiversité organisés par des acteurs majeurs dans ce domaine (LPO, CNRR, Muséum d’Histoire Naturelle).
Pour bien comprendre le biotope local, des études naturalistes sont menées sur un cycle biologique complet d’un an, et peuvent faire l’objet d’investigations plus poussées en cas de présence réelle ou avérée d’une faune ou d’une flore particulière. Les études floristiques et faunistiques (avifaune et chauve-souris notamment), géologiques mais aussi hydrauliques, permettent d’avoir une compréhension globale du terrain et ainsi d’ériger un projet ayant un impact moindre et maitrisé sur son environnement.
Suite à ces inventaires et si des sensibilités particulières sont observées des mesures spécifiques peuvent être mises en place telles que le bridage d’éoliennes, des dispositifs d’arrêt d’urgence en cas d’approche d’oiseaux ou même l’évitement de zone trop sensible. Précisons que les études sont menées par des bureaux d’études mandatés et suivent un protocole strict défini par les services de l’état.
Le mât de mesure installé sur la zone d’étude comporte des outils permettant de mesurer la force et la direction du vent mais aussi des micros enregistreurs d’ultrasons qui permettent de déterminer la diversité et la phénologie des chauves-souris qui fréquentent le site.
Une fois le parc installé, un suivi naturaliste est mené tout au long de la durée de vie du parc (au moins 20 ans) afin de confirmer que l’étude d’impact ait bien prévu les effets du projet sur son environnement. Si nécessaire les mesures mises en place peuvent être réévaluées.
Enfin, précisons que la filière éolienne mène depuis 20 ans un travail d’amélioration continu de l’intégration des parcs éoliens dans les territoires. Ceux-ci répondent au régime des ICPE (Installations Classées pour la Protection de l’Environnement) une réglementation de plus en plus stricte.